ajoutez votre email maintenant et recevez des clÉs utiles

Quelle est la barrière qui vous freine, bloque ou vous empêche de passer au niveau supérieur ? Pourquoi devez-vous, perpétuellement, muscler, façonner et sculpter votre mindset ? Comment avoir le mindset gagnant ?

Ce sont les questions sur lesquels nous allons nous attarder, aujourd’hui.

Ok ?

Ready ?

Très bien !

On commence, tout de suite, par une définition.

 

La définition de la barrière psychologique

Une barrière psychologique ou barrière mentale est un obstacle mental qui se caractérise par un état psychique qui empêche de passer à l’action. Elle influence le mindset.

Ça vous rappelle des souvenirs, pas vrai ?

 

Les raisons ou les facteurs peuvent être divers et variés. Cet état psychique est bien souvent lié à des habitudes, des routines, une éducation, un environnement, un contexte, une expérience psychologique douloureuse ou des émotions négatives liées à des problèmes spécifiques.

Des émotions fortes chargées négativement conduisent, bien souvent, à des conflits psychologiques suscitant des sensations inconfortables, de l’anxiété, de la peur, des complexes, de la culpabilité…

Aujourd’hui, on va s’intéresser aux 5 principales barrières, obstacles ou blocages psychologiques qui conduisent à une inertie temporaire, récurrente, voire handicapante.

Et surtout, nous allons explorer et découvrir des stratégies redoutables pour y remédier ou pour les atténuer.

 

Le mindset de l’entrepreneur et les barrières mentales

En tant que coach débutant ou coache débutante ou coach professionnel ou coache professionnelle, vous êtes très certainement confronté à l’une ou plusieurs de ces barrières psychologiques.

D’ailleurs, ces barrières psychologiques ne sont pas spécifiques aux coachs. En effet, les consultants, les thérapeutes, les formateurs, les entrepreneurs, les auteurs, les conférenciers, les porteurs de projets… sont, également, concernés.

 

Quelle est la proportion de coachs professionnels ou débutants concernés ?

Plus de 80% !

La règle de Pareto s’applique également dans ce cas de figure.

À propos de Pareto, je vous invite à découvrir, mon article complet sur le sujet notamment parce que vous y découvrirez l’histoire et le mindset de Butterbean

 

Mon modèle PAM en 3 étapes

Comment avoir le mindset gagnant

Imaginez que vous êtes sur un sentier abandonné, vous êtes en bonne compagnie, les éclats du soleil vous caressent gentiment la joue gauche, les gazouillis des oiseaux vous chatouillent le tympan droit, la brise fraîche vous masse le cuir chevelu, l’air pur et les odeurs boisées font frétiller vos cavités nasales.

 

Vous vous baladez depuis 4h12.

 

Il est temps de rentrer.

 

Vous avez deux choix !

 

Une sorte de dilemme.

 

Option 1 : vous rebroussez chemin ce qui veut dire qu’il vous faudra près de 3h49 (eh oui, au retour, on passe la seconde, on veut rentrer à la maison, donc on s’émerveille, moins, on emboîte le pas et on augmente la cadence, pas vrai ?).

 

Option 2 : vous prenez le raccourci

 

Seul hic, pour prendre le raccourci, il faut briser la barrière qui entrave votre chemin.

 

Sachant que le sentier est abandonné, la barrière est très vieille : centenaire (donc infranchissable), sachant aussi que derrière cette barrière, il y a un gain de temps d’au minimum 197 minutes, sachant aussi qu’il suffit de plier votre jambe préférée à 90 degrés et de mettre un bon coup de talon en pointant les orteils vers le ciel pour que la barrière s’allonge comme une étoile de mer :

 

quelle option choisissez-vous ?

 

Et surtout, si vous choisissez l’option 2, quel bruit va-t-elle émettre au moment où elle recevra votre magnifique coup de pied ?

 

Les oiseaux, à tête jaune, entendront-ils un « PAM » ou un autre bruit ?

 

Sans transition, découvrez, tout de suite, ma méthode PAM en 3 étapes pour terrasser toutes vos barrières mentales et se sculpter un mindset à toute épreuve.

 

Étape 1 : Prendre conscience

L’un des nerfs de la guerre c’est la clarté !

 

En effet, comme vous le savez, entre vos deux oreilles, vous avez un magnifique engin ultra sophistiqué, plus sophistiqué que le plus sophistiqué des engins qui existent sur cette planète.

 

D’ailleurs, l’engin le plus sophistiqué de cette planète a été inventé par un ou plusieurs personnes en utilisant leur engin (pas celui-là, l’autre) sophistiqué, pas vrai ?

 

Notre cerveau est ultra puissant, ultra efficace, ultra utile… quand on lui donne du grain à moudre, quand il a de la matière et quand on l’utilise de la bonne manière.

 

Il est plus facile de trouver ce qu’on cherche quand on sait, justement, ce qu’on cherche, pas vrai ?

 

Dans la même lignée, il est plus facile d’exploser une barrière qui nous gêne ou qui entrave notre progression quand on l’a trouvée.

 

Je vous donne un exemple plus concret :

Coralie a cassé son téléphone.

 

Elle décide, donc, naturellement, d’acheter un nouveau téléphone.

 

Bizarrement (en fait, il faudrait mettre le terme bizarrement entre guillemets parce que ça n’a rien de bizarre. À noter que je tenais absolument à écrire guillemets au lieu de mettre directement des guillemets, allez savoir pourquoi), à partir du moment où elle a décidé qu’elle avait besoin d’un nouveau cellulaire, elle a commencé à voir des pubs de téléphones portables, partout.

 

Son cerveau ne prêtait pas attention, au flot, de publicités avant qu’elle détecte un besoin de renouvellement du téléphone.

 

Vous voyez un peu l’idée ?

 

Oui, pour certains, ça a l’air tellement, simple et tellement évident quand on le dit ou quand on le lit, mais c’est beaucoup plus profond qu’on le pense.

 

D’ailleurs, si vous arrivez à aller en profondeur et non pas à vous cantonner au côté superficiel alors vous allez découvrir un monde parallèle.

 

Oui, oui !

 

Pas un monde parallèle comme Sliders, quoi que !

 

Mais disons découvrir de nouvelles perspectives, de nouvelles opportunités, de nouvelles visions.

 

Vous connaissez Sliders ?

 

En fait, le nom complet c’est : Sliders : les mondes parallèles.

 

C’est une série qui a bercé une partie de mon enfance et une partie mon adolescence (on peut parler de période d’« enfanlescence » ou « adofance ») : elle a occupé certaines tranches de bon nombre d’après-midis. 

 

Je vous partage la bande-annonce, pour voir à quoi ça ressemble ou réveiller quelques souvenirs :

 

Ah ! La bonne époque : nostalgie avec un grand « N » quand tu nous tiens !

 

Une époque, où il n’y avait pas Internet, ni réseaux sociaux ni machines à café avec dosettes.

 

 

Je suis conditionné quand je vois ou j’entends « monde parallèle », je pense Sliders.

 

Et vous, si je vous dis, monde parallèle, ça vous fait penser à quoi ?

 

Vous êtes conditionné par quel mot ou ensemble de mots ou phrase ?

 

Je suis sûr que vous avez, vous aussi, des mots qui, à chaque fois, que vous les lisez, les entendez ou les voyez, vous font penser à des éléments ou choses (je déteste ce mot, pire, je l’exècre.

Je vous dirai quels autres mots, je déteste, la prochaine fois, et notamment un trio de mots utilisé par plus de 91% des commerçants, coachs, consultants, thérapeutes, formateurs, freelances, agences, patrons, responsables administratives, employés de bureau… pratiquement tous les métiers de service, mais aussi, bien souvent, par la famille, les amis, les proches, les voisins

Ces 3 petits mots ont le pouvoir de renvoyer une image négative, d’alimenter une perception négative et d’être totalement contreproductifs.

Pour moi, c’est un véritable fléau. Il y a de, très fortes chances, que vous utilisiez ces 3 mots. En les remplaçant par 2 simples mots, le résultat, la perception et l’image sont magnifiés et surtout la satisfaction est, grandement, boostée.

Et vous, quel mot vous détestez ? Vous horripile ?) en total décalage, qui n’ont rien à voir.

 

Pas vrai ?

 

Allez-y, réfléchissez !

 

Je ne bouge pas !

 

Vous avez trouvé ?

 

C’est bon ?

 

Vous me direz (ou dites-moi) à l’occasion.

 

Bon, entre nous, j’avoue que mon cerveau a un fonctionnement, un peu bizarre, parfois (hop pop hop, j’ai dit : parfois !).

 

Rassurez-moi, vous aussi, parfois, pas vrai ?

J’ai dit parfois !

 

Bref, revenons à notre modèle PAM. On vient de voir l’étape 1 avec la prise de conscience et l’importance de la clarté.

 

Étape 2 : Accepter

Après la prise de conscience, place à l’acceptation.

 

Cette étape est cruciale puisque c’est, comment dire, en quelque sorte, la passerelle, le ciment, la bave ou plutôt la salive qui permet de coller le timbre ou de tourner la page du magazine écorné.

 

Bon j’avais pas mieux en stock au niveau métaphore, et, à ma décharge il est 23h48, au moment, où j’accouche de cet article après une longue journée intense, chiante et « attachiante » comme les on aime, pas vrai ?

 

Bref, comme vous l’avez compris, cette étape décisive vise à amorcer le changement.

 

En fonction de la barrière, du contexte, de l’état d’esprit… la tâche peut vite devenir fastidieuse, éreintante et chronophage.

 

Pour ce faire, vous pouvez vous appuyer sur différentes stratégies ou différents outils comme l’apprentissage, la visualisation, la relaxation, le positivisme, l’intelligence émotionnelle, le cycle de la vie, le modèle d’Épictète (étant donné que c’est super passionnant, j’y reviendrai, plus en détail dans un futur article…).

 

Étape 3 : Moduler

Après la prise de conscience et l’acceptation, il est temps de se débarrasser de cette barrière en utilisant les bons leviers, les bonnes méthodes, les bons outils et les bonnes clés.

 

Maintenant, vous trépignez d’impatience de les découvrir, pas vrai ?

 

Eh bien, on va en découvrir, certaines, tout de suite (vous pourrez en découvrir d’autres en rejoignant gratuitement, la liste des membres privés, pour recevoir bien d’autres pépites, clés, outils… pour passer au niveau supérieur).

 

En bref, il est temps d’intensifier le passage à l’action en s’appuyant sur des outils liés à la gestion du temps, la gestion émotionnelle, la gestion de l’énergie (mentale et physique)…

 

La modulation est possible grâce au mouvement.

 

Quand vous lisez ces 3 étapes, ça a l’air simple, pas vrai ?

 

C’est presque trop simple, presque trop simple pour être efficace.

 

Justement, un grand nombre de personnes pensent, à tort, qu’il faut que ce soit ultra complexe pour que ce soit fructueux.

 

Faites l’inverse des flemmards : testez sur une période raisonnable et voyez par vous-même.

 

Maintenant la grande question c’est : une période raisonnable correspond à combien de jours ?

La réponse : le temps de remplacer une mauvaise habitude par une bonne habitude ou le temps de remplacer une ancienne habitude par une nouvelle.

 

Là, vous vous dites, peut-être : Djamel, arrêtez le suspense et dites-moi (ou arrête le suspense et dis-moi) !

La réponse est : ça dépend !

 

Déterminez votre temps en essayant entre 1 et 28 fois.

 

Pour aller plus loin, je vous recommande mon article complet sur les habitudes, ce sera l’occasion de découvrir l’incroyable histoire du copywriter qui a inventé la plaque dentaire.

 

Aujourd’hui, on va s’intéresser aux principales barrières psychologiques, j’en ai répertorié 5, j’aurais pu en lister 10, 15, 17, 19, 20 ou même 30, mais, en fait, elles sont toutes dérivées ou en lien avec ces 5 freins psychologiques alors autant se focaliser, comme Pareto, sur l’essentiel qui permettent d’assurer les meilleures performances.

 

5 barrières psychologiques de l’entrepreneur

1. La confiance en soi

Qu’est-ce que la confiance en soi ?

En vrai, c’est quoi, réellement ?

 

Voici ma définition :

Les 3C : croire, comprendre et faire confiance à votre intuition.

 

La confiance en soi c’est la capacité à déterminer sa valeur réelle en ayant conscience de ses vraies capacités, de ses faiblesses, de ses imperfections (nous sommes, intrinsèquement, des humains, pas vrai ?).

 

Hop popo hop ! Arrêtez tout ! je viens de découvrir une citation poétique, profonde et qui possède un angle intéressant permettant d’illustrer le concept de confiance en soi :

 

Oublie ton passé, quil soit simple ou composé. Participe à ton présent pour que ton futur soit plus-que-parfait.

 

Alors verdict ?

Qu’en pensez-vous ?

 

Cette citation est de : « personne ».

À propos de personne, vous connaissez : « Personne » alias Terence Hill, dans le film « Mon nom est personne » avec l’excellente musique d’Ennio Morricone?

Ce film (ce chef d’oeuvre « westernal » : oui, ça m’arrive d’inventer des mots) a bercé mes vacances de Noël : c’était un marronnier qui passait à la télé, chaque année, on se donnait rendez-vous.

Ça vous rappelle des souvenirs, pas vrai ?

C’est un excellent exemple de confiance en soi :

 

 

Regardez et surtout observez !

 

C’est bon, c’est fait ?

 

Vous avez regardé ou observé ?

 

Vous avez sans doute, remarqué, certaines des principales méthodes ou stratégies recommandées pour développer sa confiance en soi telles que :

  • l’accoutrement disons le style vestimentaire (mieux s’habiller ou avoir le sentiment d’être mieux habillé)
  • la posture
  • la coupe de cheveux
  • les soins corporels
  • le parfum (oui, oui, des études très sérieuses ont démontré l’impact des bonnes odeurs sur soi et sur les autres et c’est très logique, pas vrai ?)
  • la pensé positive
  • le sport ou l’activité physique
  • l’activité cérébrale

 

Ces techniques fonctionnent, mais il y a un hic, un gros hic.

 

Oui, oui !

 

Le problème c’est qu’elles agissent de manière superficielle, ce sont des « boosters » ou des « accélérateurs » ou des « pansements ».

 

Certaines personnes arrivent à avoir une confiance en eux, à toute épreuve.

 

Une confiance extrême comme « Personne » alias Terence Hill sans style vestimentaire, sans posture, sans coupe de cheveux, sans parfum (bon, Personne c’est le cas extrême, l’hygiène corporelle constitue selon moi un principe de base ne serait-ce que pour se prémunir des maladies, booster l’énergie ou encore avoir des interactions humaines agréables, mais ça c’est une autre histoire)…

 

Comment font-elles ?

Quel est le secret (s’il y en a un) ?

 

C’est la grande question.

 

La réponse à cette question c’est une question.

 

La question suivante :

Pourquoi ?

 

En d’autres termes, quelle est la raison profonde qui nuit à votre confiance en vous ?

Un évènement, un moment dans l’enfance, une peur, une perception, une image, une phrase, une histoire… ?

 

En cherchant bien, c’est-à-dire sincèrement, vous allez trouver.

 

Si en vous posant les bonnes questions, vous ne trouvez pas, alors demandez de l’aide.

 

La vraie confiance en soi on la trouve à l’intérieur, elle est profonde.

 

Vous avez, très certainement, entendu une phrase de ce type :

  • le changement doit s’effectuer à l’intérieur.
  • il faut travailler en interne et en profondeur.

 

 

Il existe tout un tas de techniques ou stratégies redoutables, mais pour faire simple, je vais vous en donner une (selon moi, la plus importante) :

 

aller à la conquête de victoires après avoir trouvé la raison profonde

 

Une fois que vous avez trouvé la raison profonde, vous allez, très certainement, lever les verrous et créer un déblocage puissant.

 

Une fois cette étape « pliée », il est temps de compter, célébrer et chercher les victoires tout en luttant contre les défaites.

 

Quand je parle de défaites et de victoires, j’englobe les petites et les grandes victoires ainsi que les petites et les grandes défaites.

 

Par exemple, voici quelques-unes de mes victoires et quelques-unes de mes défaites (ce choix est délibéré pour vous faire méditer sur le concept de victoires et défaites) :

  • constater la satisfaction dans le regard de la personne qui a pu bénéficier, modestement, de certaines de mes clés, pépites ou astuces
  • se réveiller à 8h10 quand on a mis le réveil à 8h10 (oui, je ne mets jamais mon réveil à pile, à la demi, ou sur le quart d’heure et il y a une raison, très précise)
  • lire un livre par semaine et surtout le terminer
  • terminer une formation et mettre en application 80% des actions utiles c’est-à-dire 80% des 20%
  • rire au moins 15 minutes par jour (celle-là, je suis ultra à l’aise, je dépasse ultra facilement)
  • ne pas écrire suffisamment d’articles par semaine (la qualité requiert du temps, beaucoup de temps)
  • ne pas faire de sport (bon sport c’est un bien grand mot, parfois on va dire avoir une activité physique. Parfois, ça se résume à 9 min de pompes et 7 minutes d’abdos ou 16 minutes de mastication intensive : le sport buccal, ça compte ?) dans la journée
  • ne pas avoir de pensée négative dans la journée
  • ne pas succomber aux clins d’œil de la tablette de chocolat, même si c’est du chocolat noir (à partir d’un certain âge, je me suis tourné vers le chocolat noir, c’est bien, mais en même temps, c’est un signe pour moi. Un signe de vieillesse, heu, de maturité, on va dire maturité. D’ailleurs, comme j’aime le dire à partir d’un certain âge, on ne vieillit plus, on prend de l’âge, pas vrai ?)

 

À votre avis, ce sont des petites ou grandes victoires ?

Des petites ou grandes défaites ?

Et vous quelles sont vos petites et grandes défaites ?

Quelles sont vos petites et grandes victoires ?

 

Bref, le système binaire : victoire ou défaite peut être un excellent point de départ pour conditionner, positivement, son cerveau puisqu’il a l’avantage d’allier simplicité et clarté.

 

Attention, selon moi, c’est un travail perpétuel, c’est un carburant vital comme l’oxygène (d’ailleurs, la respiration est une autre des clés ultras puissantes, ultras efficaces en étant simple : découvrez mon exercice de respiration préféré dans mon article sur le flow) ou le sang : il faut toujours en avoir une quantité suffisante pour bien fonctionner.

 

Il est l’heure !

 

L’heure de quoi ?

 

L’heure de l’exercice du jour, bien sûr :

listez et comptez vos défaites ainsi que vos victoires de la journée. Ensuite, déterminez de quel côté la balance penche. Enfin tâchez de faire mieux, dès demain, pendant 3, 5 ou 7 jours d’affilié (et plus si vous pouvez).

 

Ceci est un exercice de mise en jambe tellement simple, mais tellement redoutable puisqu’il agit notamment sur l’inconscient, la routine… pour aller plus loin, je vous invite à découvrir mon article complet sur le sujet.

 

Selon Mel Robbins, experte américaine en motivation, la confiance en soi est une compétence.

 

Alors développez-là, comme toutes les autres compétences.

 

La confiance en soi c’est un vaste sujet, je pourrais vous en parler pendant des heures. Ensuite on pourrait discuter de sa cousine : l’estime de soi.

 

J’y reviendrai, sûrement, dans un futur article.

 

Pour aller plus loin, découvrez mon article complet sur la stratégie des 5 secondes.

 

2. La gestion du temps

Pourquoi est-il capital de bien gérer son temps ?

Les raisons sont diverses et variées, en voici 3 :

  • passer plus de temps avec les personnes avec qui on aime évoluer
  • éviter de donner les clés du temps à quelqu’un d’autre
  • réduire la charge mentale et le stress

Concrètement cela veut dire plus de choix éclairés, une vision plus lumineuse, des projets qui rayonnent, des résultats qui éblouissent… et bien plus encore.

 

Comment faire pour mieux gérer son temps ?

Étant donné que cet article est déjà très dense, très consistant et je l’espère très croustillant, je vous laisse découvrir mon article complet sur l’optimisation du temps où vous découvrirez notamment les 16+1 lois de gestion du temps ou lois de productivité avec en bonus l’anecdote de l’oie.

 

3. La résilience

Qu’est-ce que la résilience ?

Et surtout pourquoi la résilience est capitale ?

Boris Cyrulnik, un neuropsychiatre français, expert en résilience donne la définition suivante de la résilience :

 

la résilience c’est la reprise d’un nouveau développement après une agonie psychique traumatique.

 

Originellement, la résilience est une caractéristique qui définit la résistance d’un matériau face à un choc.

Imaginez la résilience de votre téléphone s’il tombe du lit ou du 7ème étage.

 

Le concept de résilience a émergé dans les 1950, aux États-Unis, lorsque des psychologues américains se sont intéressés à la reconstruction psychologique d’enfants ayant vécu une enfance difficile, voire extrêmement difficile. Le bon terme c’est traumatisme.

 

Ce terme fort est chargé en émotions.

 

Tout ceci est intéressant, mais quel est le lien avec vous, vous me direz ?

 

Eh bien, si on arrive, à constamment disons régulièrement garder en tête qu’aucune histoire, qu’aucune victoire, qu’aucun accomplissement ne peut avoir lieu sans chocs ou sans épreuves alors on conditionne son cerveau, de manière positive.

 

Cela fait partie du « game ».

 

Le problème c’est quand vous décidez que c’est « game over », trop tôt, avant la (vraie) fin de la partie.

 

Vous voyez l’idée ?

 

En bref, il faut cultiver et nourrir sa résilience.

 

Qu’il y ait un traumatisme ou non, encore qu’il faudrait-il donner une définition précise d’un traumatisme, la résilience permet de surmonter des épreuves et des challenges.

 

À propos de challenge, le plus difficile, c’est de déterminer les facteurs inhérents au processus de résilience qui sont bien souvent biologiques, psychologiques, sociaux et culturels.

 

Aujourd’hui, disons que je fais, davantage, référence à ce qu’on pourrait appeler la business résilience ou la résilience en business ou la résilience entrepreneuriale ou résilience organisationnelle.

 

La « business resilience » ou résilience organisationnelle c’est la capacité d’une entité ou d’une organisation (ça peut être une entreprise, mais aussi une association ou un groupe…) à dépasser, surmonter et faire face à un challenge, une épreuve, une claque ou un revers, et ce, quels que soit les circonstances, les conditions ou l’environnement.

 

Techniquement, comme vous l’avez compris, la résilience générale se transpose dans l’univers du business et c’est tout à fait logique parce qu’un business est composé d’être(s) humain(s).

 

Comment devenir résilient ?

Il y a plein de manières de développer sa résilience cela peut passer par plus de communication, une meilleure connaissance de soi, plus de simplicité, un accompagnement, un plan d’action (ou une roadmap), une capacité d’adaptation…

 

Ce qui est sûr c’est que je constate que c’est l’une des plus grandes problématiques tout en étant l’une des plus difficiles à gérer.

 

Je termine cette section résilience avec une citation, qu’il est bon de garder en tête :

 

« Le succès c’est d’aller d’échec en échec sans perdre son enthousiasme. » Winston Churchill

 

 

4. La solitude

Dan Pena, a partagé une phrase fabuleuse qui m’a, énormément marqué, il y a plus de 12 ans :

 

«  si tu as besoin de sortir tous les weekends ou si tu as besoin d’être constamment entouré d’autres humains alors tu as un gros problème »

(en vrai, il a pas dit, gros problème… il a dit, tu es une grosse m…. bip, à propos de m…., ça me fait penser à mon article sur la licorne qui pond des glaces)

 

C’est un style de coaching et une approche très différente de la mienne qui ne sont adaptés qu’à un très petit nombre de personnes.

 

Il faut du détachement et de la profondeur.

 

Les mots clés à retenir sont : « tous les week-ends » et « constamment. »

 

Beaucoup d’entrepreneurs, coachs, thérapeute, formateurs, consultants, auteurs, freelances, prestataires de service… considèrent la solitude comme un fléau.

 

Comme souvent, c’est une question d’équilibre, pas vrai ?

 

Je vous avoue que ceux qui condamnent la solitude en créant un sentiment de gêne m’agacent.

 

J’adore passer du temps en famille, avec les amis, en bonne compagnie, discuter, échanger, partager… mais j’aime aussi voire j’ai besoin d’être isolé dans la nature pendant quelques centaines de minutes ou d’être en tête à tête avec mon écran ou…

 

Et vous ?

Est-ce que vous avez un besoin viscéral d’être en permanence en contact avec d’autres humains ?

Est-ce que le mot solitude peut rimer avec attitude (positive) et altitude ?

 

Selon moi, la problématique ce n’est pas la solitude, mais d’être victime de la solitude.

Beaucoup s’enferment dans une solitude choisie ou subie.

 

Quelles sont les solutions ?

Premièrement, se poser les bonnes questions.

Deuxièmement, je vous invite à commencer, tout simplement, par appliquer les remèdes de la procrastination qui se marient très bien avec ces problématiques de solitude.

Troisièmement, on verra le « troisièmement » dans un prochain épisode, mais entre nous, le « premièrement » et le « deuxièmement » sont plus que suffisants pour commencer à avoir des solutions.

 

5. Les habitudes

Quand on parle d’habitudes, il faut aussi mentionner les routines ce qui amène et conduit, très souvent, vers une question fondamentale.

À votre avis, laquelle ?

Quelle est la différence entre une habitude et une routine ?

 

La définition

Voici une définition simple :

une routine est une séquence de tâches prévisibles, déterminées et ancrées alors qu’une habitude est une aptitude, une compétence acquise dans le temps en mettant en place des actions récurrentes.

 

Vous savez quoi ?

Le mieux et le plus simple, c’est de découvrir mon article complet sur le sujet avec l’incroyable histoire de Peng (cette histoire devrait grandement vous plaire en tout cas, elle vaut le détour).

 

Vous comprendrez pourquoi il est capital de travailler sur vos routines et vos habitudes.

Vous verrez comment faire pour acquérir une discipline de fer.

Vous découvrirez les 3 étapes pour installer une bonne habitude.

Vous aurez la réponse à la question du temps nécessaire pour créer, instaurer ou adopter une habitude, et bien plus encore.

 

 

En définitive

Notre cerveau est une formidable machine ultra complexe, ultra brillante et ultra puissante, qui nous joue, de temps à autre, des tours. Il nous empêche, parfois, d’atteindre nos objectifs ou d’aller dans la bonne direction.

La mauvaise nouvelle c’est que la plupart des coachs, consultants, thérapeutes, formateurs, entrepreneurs, prestataires de services, freelances, auteurs, conférenciers… subissent et sont victimes de ce qu’on appelle communément des freins psychologiques ou barrières psychologiques.

 

J’en ai listé 5 dans cet article, mais la liste peut, facilement, s’étendre à 10, 17, 20 voire plus.

 

Par contre, ce qui est sûr, c’est que ces 5 freins psychologiques sont étroitement liés à l’ensemble des autres barrières psychologiques.

 

Du coup, le fait d’évoluer et de travailler sur ces derniers permet de débloquer l’essentiel des verrous et blocages psychologiques afin de transformer l’inertie en mouvement.

 

La bonne nouvelle c’est qu’on peut gagner le jeu en lui jouant des tours, de manière positive, pour lui donner du grain à moudre et de la matière pour le mettre ou le remettre dans les rails.

 

Pour travailler et surmonter, plus facilement, plus rapidement ou plus en profondeur ces 5 barrières ou freins psychologiques, vous pouvez aussi miser sur le meilleur investissement de votre vie (et ce n’est pas, forcément ou totalement, ce que vous croyez) :

comment investir en soi : le meilleur investissement de votre vie (profitez-en pour découvrir l’histoire de l’étudiant timide).

 

Quelle(s) barrière(s) vous embête le plus ?

Quel frein psychologique vous angoisse ?

Quelle barrière vous paralyse et vous empêche de passer à l’action ?

Quelle est la barrière sur laquelle vous allez vous concentrer à partir de maintenant ?

 

Pour aller encore plus loin, plus vite ou plus en profondeur, réservez dès maintenant votre séance de coaching et consulting 100% offerte (sous réserve qu’il reste, encore, des places disponibles) pour échanger, par exemple, sur votre avatar, votre offre, votre histoire, votre message, votre système… ou un autre problème.

 

Pin It on Pinterest

Share This