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Quelles sont les erreurs du coach ou du consultant ou du… ?

 

Comme j’aime le dire, dans la vie, il y a au moins 2 garanties dont je suis sûr à 100% 1 000 000% :

 

  • on va tous mourir (je sais ce n’est pas glamour, mais c’est la réalité et ça fait partie de la vie donc autant en prendre conscience, l’accepter et en tenir compte au lieu de se mettre des œillères) même si ça déplaît aux transhumanistes endurcis qui pensent qu’ils vont pouvoir échapper à la mort et vivre éternellement. En plus, on ne sait pas quand, ni comment… c’est pourquoi je considère qu’il faut essayer d’aller le plus vite possible notamment dans son business : autant bosser dure pendant quelques mois ou années pour profiter sur plusieurs décennies qu’espérer l’inverse, pas vrai ?

 

  • tout le monde a des problèmes (certains détestent ce terme, ils préfèrent dire défis, challenges, obstacles, barrières… je suis pour la pensée positive et l’utilisation des termes positifs sans tomber dans l’excès) : oui tout le monde… absolument tout le monde : les entrepreneurs débutants, les milliardaires, les jeunes, les moins jeunes, les canards, les plantes…

 

Justement, aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous, les 10 plus grands problèmes disons erreurs, challenges, défis, obstacles, barrières… auxquels sont confrontés la plupart des coachs, consultants, thérapeutes, formateurs, conférenciers, entrepreneurs…

Ceux que je constate en permanence.

 

 

Problème numéro 1 : le syndrome de l’imposteur

Même si certains sont certifiés, le syndrome est, bien souvent, bien ancré. Ils ne sentent pas légitimes, pas à la hauteur, pas capable de délivrer de la valeur et de satisfaire.

 

Quand il y a des résultats, ils les attribuent à la chance. Elles ont peur d’être démasquées et elles pensent que ça peut arriver à tout moment et surtout que ça remette en cause tout le travail acharné accumulé après des années de souffrances, douleurs, transpirations…

 

Les coachs, consultants, thérapeutes, formateurs… victimes de ce syndrome vont, en général, redoubler d’efforts, de créativité, d’ingéniosité, de stratégies… pour masquer ce qu’il considère être la « grande escroquerie » pour tenter d’atténuer le sentiment de culpabilité.

 

 

Problème numéro 2 : la procrastination

L’éternel fléau qui touche, également, une grande partie des coachs, consultants… pour ne pas dire la majorité. On peut même dire la majorité des êtres humains.

 

Je pense que c’est dans notre ADN. D’ailleurs, si l’on prend l’étymologie latine du mot « travail », on s’aperçoit qu’il vient du mot « tripaliare » et du mot « trepalium ». « Tripaliare » veut dire torturer, tourmenter, contraindre et le « trepalium » désigne un outil de torture composé de 3 pieux qui était utilisé durant l’Antiquité.

 

Je ne crois pas au hasard ! Et vous ?

(À chaque fois que je vois, le mot travail, je pense automatiquement au sujet du bac de l’année 20.. :

 

Le travail n’est-il que servitude ?

 

À votre avis ?

 

Waouh ! Le temps trop vite !

 

On peut être très bon pour trouver tout un tas d’excuses, de prétextes… pour ne pas bosser, n’est-ce pas ?

 

Je ne me rappelle plus du chiffre exact, mais je sais qu’on dépasse les 80%.

 

80% de quoi ?

80% de personnes parmi la population active (c’est-à-dire ceux qui bossent) qui déteste leur travail d’après une étude très sérieuse de l’institut… bidule machin GFK.

 

Beaucoup d’entrepreneurs sont en fait des solopreneurs qui passé le cap de l’euphorie des premiers jours ou premières semaines doivent faire face à la routine, la solitude, les angoisses, les peurs, les chiffres d’affaires en dent de scie, l’accumulation des tâches… ce qui augmente le manque de clarté, le manque de focus, le manque de discipline… le manque de résultats. Il est alors très facile de se piéger par l’engrenage et de se faire aspirer par la spirale infernale.

 

Pour en savoir plus sur les causes, les conséquences de la procrastination et surtout les solutions comme la technique du crapaud, je vous invite à (re)découvrir l’article, très complet, rédigé avec amour par votre serviteur :

 

Avale, avale, vas-y avale-le pour dire adieu à la procrastination !

 

Problème numéro 3 : le syndrome de l’expert fauché

Ils sont bons, ils partagent beaucoup de contenus en dépensant beaucoup de temps, beaucoup d’énergie et parfois beaucoup d’argent. Par contre, les résultats ne sont pas proportionnels et d’ailleurs, ils sont loin d’être à la hauteur de leurs attentes. Ils suivent tous les règles, les stratégies découvertes, les méthodes apprises… à la lettre, mais ils ne comprennent pas pourquoi ça ne marche pas.

 

À l’évidence, il y a du talent, techniquement ils sont excellents : les gens saluent leurs prouesses. On peut même dire qu’ils émerveillent. Justement le problème c’est qu’ils pensent que la technique suffit. Ils sont, bien souvent, persuadés que la technicité suffit. Ce sont, avant tout et surtout des artistes dans leur domaine. Ils considèrent leur travail et leurs compétences comme un art.

 

Ils stagnent ou sont bloqués : ils n’arrivent pas à avancer.

 

 

Problème numéro 4 : le problème

Ils n’ont pas identifié un réel problème ou ne résolvent pas un problème conséquent, douloureux, profond… qui justifie l’investissement qu’ils réclament. Pour rappel (on a tous besoin de rappels) :

 

la vocation d’une entreprise c’est de résoudre un problème humain (en tout cas, lié à un humain. Eh oui, parce que le castor de l’étang voisin ne va pas pouvoir vous régler) en une apportant une solution en échange d’une rémunération.

 

Si le problème n’est pas clairement identifié ou s’il n’est pas urgent ou suffisamment contraignant : ça va être ultra difficile.

 

Le produit ou le service doit répondre à un réel besoin ou désir.

 

Dit comme cela, ça a l’air basique ou évident, mais croyez-moi, c’est loin d’être aussi clair, limpide et automatique pour un très grand nombre de professionnels ou futurs professionnels.

 

 

Problème numéro 5 : l’offre

L’offre ne répond pas à un vrai problème ou elle n’est tout simplement pas (assez) irrésistible.

 

Souvent, je remarque que le produit ou le service n’est pas lié à une offre (pour rappel, une offre est une combinaison). En plus, de çà, il n’est pas toujours bon, qualitatif ou efficace.

 

Pour preuve, justement, le coach, consultant, entrepreneur, thérapeute, formateur, expert… n’est pas en mesure d’apporter des preuves, des avantages et bénéfices avancés. Ce dernier n’est lui-même pas convaincu de la qualité de produit ou service parce qu’il ne l’a pas réellement testé.

 

Du coup, elle n’inspire pas vraiment confiance au client ou futur client.

 

Pour peu, comme c’est souvent le cas, qu’elle soit similaire à la plupart des autres offres du marché alors c’est le désastre assuré.

 

Comme j’aime le dire : vous pouvez avoir le meilleur mindset du monde, le meilleur client du monde, le meilleur argumentaire de vente, le meilleur message du monde… si votre offre est pourrie  pas suffisante qualitative alors vous vous tirer une balle dans le pied qui va conduire à la gangrène, l’amputation, l’infection et la mort. Oui, oui !

 

La qualité de l’offre est primordiale.

 

Attendez, je vais reformuler : on se doit d’avoir, OBLIGATOIREMENT, une offre avec la meilleure qualité possible pour :

-avoir la plus grande sérénité

– avoir la plus grande confiance

– obtenir la plus grande satisfaction des clients

– obtenir le plus grand sentiment de fierté

– avoir le plus de ventes possible

– avoir les meilleures recommandations possible

– obtenir le plus grand impact

– obtenir la meilleure transformation possible

Et bien plus encore.

 

 

Problème numéro 6 : la vente

Soit ils n’aiment pas vendre parce qu’ils ne savent pas vendre ou parce qu’ils ont un tas de croyances limitantes liées à de mauvaises expériences ou de mauvaises histoires entendues par-ci, par-là.

 

Soit ils font une fixette sur la vente sans apporter une réelle valeur et de réelles solutions ce qui veut dire, pour moi, qu’ils ne savent pas vendre.

 

On le sait la vente est bien souvent source de stress. Comme vous le savez, il y a plusieurs types de stress.

 

Au moins 2 : le bon, la brute et le truand.

 

Pour eux, c’est une angoisse perpétuelle qui se fait ressentir et qui est ressentie par les prospects et les clients. Certains font, carrément, un blocage : pour eux, ils sont coachs, consultants, thérapeutes… mais surtout pas vendeurs.

 

J’aime bien leur rappeler que la vocation d’une entreprise c’est de gagner de l’argent.

 

L’argent n’est ni bon ni mauvais : c’est un amplificateur, un outil, un moyen…

 

Toute personne qui communique : influence. Qui dit influence dit « vente ».

 

On vend son produit, son service… ou son temps ou son idée…

 

Autant l’accepter et travailler pour le faire de la manière possible en étant dans une véritable optique gagnant gagnant en apportant un maximum de valeur avec éthique, respect et bienveillance.

 

D’ailleurs l’une des questions qui revient le plus souvent c’est :

 

Comment trouver des clients ?

 

Si la réponse à cette question vous intéresse, je vous recommande chaudement mon guide complet (en 1 seul article) :

 

Comment trouver des clients quand on est coach ou consultant

 

Problème numéro 7 : la clarté

Entre la communication, la prospection, les réseaux sociaux, les discours qui vous disent tout et leur contraire, le stress, les factures, la fatigue, la pression des proches (surtout l’incompréhension), la solitude, les imprévus, la vie personnelle… bref, la liste est (très) longue.

 

Il est, alors, très facile de s’éparpiller, de s’emmêler les pinceaux, de ne plus savoir quoi faire, quand le faire et surtout comment le faire.

 

Le manque de clarté est un des points sur lequel il faut travailler, dès que possible, en profondeur pour pouvoir espérer atteindre des sommets.

 

 

Problème numéro 8 : le focus

Le manque de clarté est étroitement lié au manque de focus, de consistance, de discipline, de régularité… (oui, je sais : ça fait beaucoup de synonymes. Mais c’est super important, pas vrai ?).

 

En général, la vision : s’il y en a une, n’est pas claire. Ce qui rend la mission complexe. Le focus permet de mieux contrôler ses émotions, son état interne… et par conséquent ses journées.

 

Concrètement, ça veut dire que, comme vous le savez, les coachs, les consultants, les thérapeutes, les formateurs, les conférenciers, les entrepreneurs, les experts… qui sont le plus focus sont qui atteignent plus facilement leurs objectifs. Surtout à l’ère de la société de consommation… des réseaux sociaux où l’attention moyenne de l’être humain ne dépasse pas les 7 secondes. Tout le monde veut votre attention. La concentration mentale profonde est, presque, devenue un luxe.

 

 

Problème numéro 9 : le message

Le positionnement et le message ne sont pas assez percutants, différenciants. Ils ne retiennent pas l’attention. Ils ne sont pas mémorables. Ils n’invitent pas et n’incitent pas à en découvrir davantage. Il n’y a pas de réelles émotions véhiculées. Ce n’est pas ou pas assez bien structuré. Il n’y a pas de début, de milieu et de fin : en clair, ce n’est pas structuré.

 

Ça manque d’inspiration, de finesse, d’élégance, de fluidité… Ils sont prévisibles : il n’y a pas de mystère, pas de curiosité et pas de suspense.

 

 

Problème numéro 10 : l’égo

Celui-là c’est pour moi l’un des pires et en même l’un des plus difficiles à surmonter : la guerre maitrise de son égo.

 

Vous me direz tout dépend de la définition, de l’angle (et de comment on voit le verre). En développement personnel et en psychologie, certains vous diront que votre « moi intérieur » ou votre « second vous » va vous être très utile, il va vous permettre de vous épanouir… bla bla… etc.

 

Je pense que vous avez compris que je faisais plutôt allusion à l’égo qui veut prendre le dessus sur la modestie, la simplicité… pour se prouver et pour montrer qu’on est meilleur et/ou plus fort et/ou plus intelligent. Cette profonde volonté de vouloir démontrer et montrer au plus grand nombre ses compétences, ses talents, sa créativité… probablement pour se rassurer.

 

Cet égo est dangereux parce qu’il peut nous empêcher d’adopter la bonne attitude et le bon comportement. Il peut nous freiner dans notre croissance, notre développement. Il est vecteur de mises en retrait, de conflits, parfois de jalousies voire pour certains de sabotages, de manipulations… et autres stupidités.

 

Cet égo empêche un très grand nombre de coachs, consultants, thérapeutes, experts, formateurs, conférenciers… d’investir, de se former, de se faire accompagner… justement parce qu’ils sont convaincus qu’ils n’en ont pas besoin. Le fameux narcissisme combiné à l’inconfort, la compétition malsaine, les peurs, les conclusions hâtives et les jugements.

 

Paradoxalement, les meilleurs coachs ont un ou plusieurs coachs…

 

 

Est-ce que j’en ai oublié ?

En tout cas, si c’est le cas, il y a fort à parier (je suis certain) que ceux non mentionnés sont liés de très près ou de moins près à l’un ou plusieurs des problèmes cités.

Vous êtes concerné par lequel ou lesquels ?

 

Félicitations !

 

Pourquoi ?

Vous venez de valider avec succès, la 1ère étape : la prise de conscience ou le rappel !

 

Parler et pointer les erreurs du coach, consultant, thérapeute, formateur, conférencier, entrepreneur, expert… (oui, oui, tout le monde est concerné) et les problèmes c’est bien, apporter des solutions, c’est mieux, n’est-ce pas ?

 

Je n’ai pas de solutions miracles parce que je ne suis pas magicien (et parce qu’il y a plusieurs paramètres à prendre en compte par rapport à votre situation actuelle, votre environnement, vos contraintes, vos objectifs…)

 

Par contre, il y a des tendances, des vérités générales, des attitudes, des stratégies, des outils… qui ne peuvent que vous aiguiller, vous faire progresser, vous aider, vous faire avancer… et faire en sorte d’éliminer une bonne partie voire l’ensemble de ces problèmes.

 

Voici, pour moi, les 3 principales :

  • Se recentrer
  • Se former
  • Se faire accompagner

 

À propos d’accompagnement, je vous invite à réserver comme les lecteurs actifs de cet article votre séance de coaching 100% offerte simplement en vous rendant sur cette page.

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